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lundi 7 juillet 2008


Avec un beau soleil, le moral va tout de suite mieux! Pour le garder et renforcer notre bonne humeur, ce n'est pas bien compliqué, il suffit de bien manger. Je suis la première à avoir le moral en dents de scie quand il pleut. Pour me donner un regain d'énergie, je mange mieux...Enfin, j'essaye!


Voici mes trois péchés mignons. Mon premier choix ne va pas vous plaire puisqu'il s'agit du foie gras. L'incident des oies maltraitées était trop atroce, je ne reviendrai pas sur cet évènement. Dans ce produit, on trouve de la vitamine B9 qui est celle du sourire jusqu'aux joues en tout temps.


Les huîtres sont aussi excellentes pour garder la tête dans les nuages. Elles renferment des oméga 3 et de la vitamine B. Et pour finir sur une note savoureuse, je vous propose le chocolat noir. Ahhhh, non seulement il est bon pour garder la ligne mais c'est un formidable aliment pour rester zen

vendredi 6 juin 2008

Vrai ou Faux


Un acide gras « essentiel » est un acide gras que notre corps ne peut fabriquer.

Clik pour savoire la réponse

jeudi 5 juin 2008

Citation du jours

« La Terre n’appartient pas à l’homme, c’est l’homme qui appartient à la Terre. »

Comment se préparer aux examens ?


Quand les examens approchent, le stress monte. Tant que cette tension est stimulante et vous encourage à travailler, elle est très bénéfique. Mais quand le stress devient angoissant, voire paralysant, il est préférable de faire son possible pour l'atténuer. Alors, quelles sont les mesures à prendre pour augmenter ses chances de réussite ?


Les mesures pratiques pour réussir ses examens (clik ici pour lire cet article)

Faut-il toujours une préparation psychologique ? (clik ici pour lire l'article)


jeudi 29 mai 2008

Cancer du sein : parlons-en !


De la puberté à la ménopause, les seins sont l’objet de toutes les attentions et de toutes les peurs. La découverte d’une grosseur est l’objet d’un retentissement psychologique très élevé. Sans la négliger, sachez cependant que la plupart des lésions du sein sont bénignes.

lire ces arcticles:
Anatomie d'un "sex symbol"
Le cancer du sein en question
Les maladies bénignes du sein

jeudi 17 avril 2008

Ostéoporose "Un danger sous-estimé


Du fait de l'allongement de l'espérance de vie, l'ostéoporose devient un problème de santé publique. Pas moins de 40 % des femmes qui ont aujourd'hui 50 ans seront victimes durant leur vie d'une fracture liée à cette "maladie des os fragiles".

Lire L'article

jeudi 27 mars 2008

Après la journée royale et people, place à la politique entre Nicolas Sarkozy et Gordon Brown


Le président français et son épouse ont été accueillis sur le perron de Downing Street par le premier ministre britannique et sa femme. Les deux dirigeants vont s'entretenir quelques minutes puis se rendre à l'Emirates Stadium, le stade de l'équipe de football d'Arsenal.Pour ce premier sommet bilatéral depuis leur accession au pouvoir, Nicolas Sarkozy et Gordon Brown doivent notamment aborder les questions de l'Otan ( Organisation du traité de l'Atlantique Nord ) et de l'Afghanistan où la France a annoncé hier l'envoi de renforts répondant aux souhaits de Londres et Washington.


La crise financière, la coopération nucléaire, la défense européenne et l'immigration feront également partie des discussions.



Le 27/03/2008


Source: www.euronews.net

jeudi 13 mars 2008

Lettre à ma fille -Idir

Demander, Donner, Et Recevoir



Ce n'est pas facile de pouvoir faire ces trois choses à la fois: savoir demander, savoir donner et savoir recevoir. Seulement quelques chanceux sont capables durant leur vie de conjuguer ces trois verbes avec aisance. Aussi, avec des termes très généraux, je dirais que les bonnes personnes savent donner et recevoir, c'est à dire, qu'elles sont généreuses et reconnaissantes; tandis que les mauvaises personnes sont égoistes, ne donnent même pas l'heure, demandent avec exigences et sont ingrates lorsqu'elles reçoivent.Savoir demander peut paraître à première vue facile à faire. Mais si vous y réfléchissez bien, vous comprendrez rapidement que c'est très compliqué. Je connais beaucoup de personnes extradordinaires qui savent donner mais qui sont incapables de demander, même pas aux personnes avec lesquelles elles se sentent le plus proche. Tout simplement parce qu'elles ne veulent pas se sentir comme des quémadeuses ou des parasites: en quelque sorte de faire pitier. A ceux-ci s'ajoutent ceux qui ne demandent pas par pur orgueil, ce pêché capital dont le remède est l'humilité. Demander avec naturalité, avec dignité, c'est très compliqué.
Savoir recevoir devrait être le plus facile à faire. Mais il ne suffit pas seulement de dire Merci. Celui qui sait recevoir sent de la gratitude et n'oublie pas, parce que la gratitude c'est la mémoire du coeur. L'ingratitude, quant à elle, c'est la fille de l'arrogance. Parfois, il peut arriver que la personne aidée se comporte de façon la plus ingrate. Mais bon, ce genre de personnes est à oublier.
Savoir donner, cela n'échappe à personne, suppose de ne pas se vanter ostensiblement, de ne pas faire de la publicité à tort et à travers. Donner ostensiblement, c'est pire que de ne pas donner. C'est ce que font d'ailleurs les politiciens et ils ne s'en cachent pas. Ils le crient haut et fort. Donner sans humilier, sans que celui qui reçoit se sente pauvre et petit. Donner sans que cela se note, imperceptiblemente. Donner c'est partagé avec joie.
J'ai beaucoup de chance d'avoir dans mon entourage des ami(e)s comme ça. Des ami(e)s qui savent donner sans le rappeler et recevoir sans oublier.

Citation Du jour

« Plus on sait, plus on doute. »Pie II, pape

vendredi 7 mars 2008

La FéTE dE lA FeMmE

Parce qu'il n'y a pas que les hommes qui en parlent... Les femmes aussi en font un sujet de prédilection, et elles n'ont pas leur langue dans leur poche.

vendredi 1 février 2008

Ostéoroscope

Ostéoporose : un danger trop souvent ignoré

L'ostéoporose veut littéralement dire "os poreux". Cette maladie rend donc les os fragiles, augmentant le risque de fracture lors de traumatismes minimes de la vie courante. Les conséquences de ces accidents ne sont pas anodines. Une femme de 50 ans a un risque de décéder d'une fracture de hanche comparable à celui de mourir d'un cancer du sein. Alors que le vieillissement de la population va s'accompagner d'une augmentation de l'ostéoporose, il était temps que cette maladie ne reste pas le parent pauvre des maladies les plus fréquentes et les plus graves.

Une terrible épidémie silencieuse

Comme les autres organes, les os sont un tissu vivant. Tout au long de sa vie, l'os se renouvelle (environ 10 % chaque année) grâce à un processus dit de remodelage osseux qui comprend deux phases : une phase de destruction osseuse et une phase de formation osseuse. Jusqu'à 25 ans, la formation est supérieure à la destruction, c'est la constitution du capital osseux. Au-delà de 25 ans, la formation et la destruction s'équilibrent. A la ménopause, la formation ne suffit plus, la destruction prend le dessus et le capital osseux diminue. A partir d'un certain stade de fragilisation des os, on parle d'ostéoporose.
Aujourd'hui, l'ostéoporose touche 3 millions de femmes ménopausées en France et une femme sur deux après 60 ans. Cette maladie est ainsi responsable de 150 000 fractures par an ! Ce qui correspond à près de 410 fractures par jour, soit 17 toutes les heures ! Loin d'être anodins, ces traumatismes sont particulièrement graves et handicapants.Chaque année, surviennent 40 000 fractures du poignet. Ces fractures ne doivent pas être sous-estimées. En effet, passé un certain âge, il s'agit d'un véritable signal révélateur d'ostéoporose. D'autre part, on estime que plus de 60 000 fractures vertébrales et 50 000 fractures de l'extrémité supérieure du fémur surviennent chaque année. Ces dernières sont responsables de graves handicaps justifiant fréquemment une hospitalisation ou une mise en institution spécialisée.
Particulièrement handicapantes, les fractures du col du fémur ont des conséquences désastreuses : la moitié des victimes connaît une perte d'autonomie et est contrainte d'abandonner son domicile ; 20 à 30 % des victimes meurent dans l'année qui suit l'accident.
Pourtant, face à de tels chiffres, l'ostéoporose est encore trop souvent ignorée.

mardi 29 janvier 2008

Les maladies bénignes du sein

Adénofibromes, lipomes, mastodynies, abcès, kystes… Leur découverte et leur diagnostic peuvent être l’objet d’une grande anxiété. Pourtant, elles n’augmentent en aucun cas le risque de cancer du sein.
Les adénofibromes, les plus fréquents
Les plus fréquentes des tumeurs bénignes du sein sont des fibroadénomes ou adénofibromes. Ces formations glandulaires s’observent tout particulièrement chez les femmes jeunes et ont, en général, une taille de 2 à 3 centimètres de diamètre.
Elles sont rondes, mobilisables sous la peau et fermes à la palpation. A la mammographie et à l’échographie, leurs contours sont bien réguliers.
Devant un tel adénofibrome, votre médecin pourra demander une ponction. Réalisée à l’aiguille sans anesthésie locale, ce geste est certes désagréable mais pas trop douloureux. Les cellules que cette ponction permet de recueillir confirmeront le diagnostic d’adénofibrome en quelques jours. Dans l’immense majorité des cas, ces tumeurs n’exposent pas à un risque accru de cancer du sein. Chez les femmes jeunes, on se contente donc de les surveiller sauf si elles grossissent trop vite. Chez les femmes plus âgées, une attitude plus interventionniste (chirurgie) est plus volontiers proposée. L’intervention, pratiquée sous anesthésie générale, est facile et nécessite un arrêt de quelques jours de travail seulement.

Lipomes, mastodynies et abcès du sein

D’autres tumeurs bénignes peuvent aussi être rencontrées comme :

Des lipomes, de petites boules de graisse situées sous la peau ;
Des papillomes intracanalaires, c’est-à-dire des petites formations tumorales développées à partir de l’embouchure au niveau du mamelon des canaux galactophores, les canaux qui permettent l’évacuation du lait. Ces papillomes seront enlevés par le chirurgien.

Certaines femmes se plaignent aussi chaque mois de tension mammaire et de douleurs du sein ou mastodynies durant la semaine qui précède les règles. Les seins gonflent et deviennent particulièrement sensibles. Ce phénomène, qui s’intègre dans ce qu’on appelle le syndrome prémenstruel, est dû aux modifications hormonales du cycle féminin. Ces mastodynies inquiètent à tort de nombreuses femmes car elles ne majorent en rien la probabilité de cancer du sein. Il arrive qu’on propose pour les traiter des anti-inflammatoires ou des veinotoniques. Parfois aussi, le médecin prescrit des thérapeutiques hormonales, notamment des progestatifs ou modifie un traitement hormonal existant (pilule) dans le but de les atténuer.
Enfin, des infections ou des abcès du sein peuvent survenir après un allaitement. Les germes ont pu pénétrer à l’intérieur de la glande par les crevasses du mamelon. Ces affections se manifestent par une fièvre, l’augmentation des ganglions de l’aisselle, une zone cutanée rouge et douloureuse et, en cas d’abcès, l’apparition d’une grosseur. Les infections seront traitées par antibiotiques, mais les abcès doivent être drainés

Le cancer du sein en question

1 - Quelles sont les femmes à risque de cancer du sein ?

Le cancer du sein touchera une femme sur huit au cours de sa vie. Rare avant 35 ans, il se développe dans les trois quarts des cas chez des femmes de plus de 50 ans. C’est pourquoi un dépistage gratuit de ce cancer par mammographie est proposé tous les deux ans à toutes les Françaises de 50 à 74 ans. L’espoir est, avec ce dépistage, d’augmenter d’au moins 30 % le taux de guérison car les cancers de moins d’un centimètre repérés par le dépistage guérissent le plus souvent.
Il reste que certaines femmes sont un peu plus exposées que les autres. C’est le cas des femmes qui n’ont pas eu d’enfants ou les ont eu après 40 ans, de certaines femmes qui présentaient déjà des lésions mammaires à risque, des femmes qui ont été réglées précocement et ménopausées tardivement, des femmes qui boivent trop d’alcool... On connaît aussi des formes génétiques de cancers du sein, mais elles sont rares, 5 à 8 % des cas.

2 - Pourquoi le cancer du sein augmente-t-il ?

Avec 42 000 nouveaux cas par an aujourd’hui contre 21 000 en 1980, l’augmentation du nombre de cancers du sein est bel et bien réelle et ne semble pas être imputable seulement à la prolongation de la durée de vie ou à un diagnostic plus précoce en rapport avec la diffusion de la mammographie. Pour autant, l’explication manque. Les spécialistes se demandent si les modifications de nos modes de vie et notamment de notre alimentation ne jouent pas un rôle délétère. Suspectés aussi, la pollution, les effets des traitements hormonaux. Mais d'autres cancers ont également augmenté depuis 20 ans comme le cancer de la prostate, alors que les hommes ne prennent pourtant pas d'hormones.

Anatomie d’un "sex symbol"


Les seins jouent un rôle important dans la représentation de la féminité. De la puberté où les jeunes demoiselles surveillent avec appréhension le développement de leur poitrine, à la ménopause où leur forme et leur volume évoluent, le sein est investi d’une valeur symbolique et affective forte.


Constitué d'un tissu adipeux plus ou moins important qui leur donnent leur forme et leur volume, les seins évoluent selon l’histoire naturelle des femmes, leur âge, leurs grossesses antérieures, leurs activités physiques… La glande mammaire est composée d’une vingtaine de lobules et comporte entre 10 et 100 acini, qui sécrètent le lait. Les seins, parcourus par une multitude de vaisseaux sanguins, sont maintenus par la peau et des fibres au muscle pectoral qui recouvrent le thorax.


Les tissus mammaires baignent dans des liquides lymphatiques, qui permettent d'éliminer les déchets, les cellules mortes et autres débris. Ces liquides circulent dans les vaisseaux lymphatiques, qui se déversent dans les ganglions lymphatiques. Il y a environ 35 ganglions lymphatiques autour de chaque sein, dont la plupart sont situés dans le creux de l'aisselle ou à proximité. Si un cancer se développe dans un sein, il s'étend souvent aux ganglions car la lymphe peut contenir et faire circuler des débris mais aussi des cellules cancéreuses. La lymphe circule dans toutes les directions, mais les trois-quarts environ des vaisseaux lymphatiques du sein se déversent dans les ganglions axillaires (dans l'aisselle), qui deviennent souvent le premier foyer cancéreux créé à distance des seins.

dimanche 6 janvier 2008

Vrai !!

Un acide gras « essentiel » est un acide gras que notre corps ne peut fabriquer : VRAI !

Notre corps ne peut fabriquer les acides gras dits « essentiels », indispensables à de nombreux mécanismes physiologiques au sein de notre organisme ; on doit donc les puiser dans l’alimentation. Parmi les différents acides gras essentiels, les oméga 3 font particulièrement parler d’eux car ils contribuent au bon fonctionnement du système cardio-vasculaire ; or, en France nous n’ont consommons pas assez (études (SU.VI.MAX 2003 et INCA Credoc 1999).Où trouver les oméga 3 ? Dans les huiles de colza, de noix, de soja, de poisson ; dans certains fruits oléagineux comme les noix ; dans les poisson gras tels que maquereau, sardine, anchois, hareng, saumon… Toutefois, veillez à surveiller ses apports en lipides. Il s’agit plutôt de remplacer, que d’ajouter de nouvelles matières grasses.

samedi 5 janvier 2008

Et l’homme créa le sourire…

Le Petit Robert est très clair sur le sujet : "Sourire : mouvement léger de la bouche et des yeux qui exprime l’amusement ou l’ironie". Dit comme ça, cela paraît simple. Le mot "sourire" a fait son apparition au XVe siècle, on a d’ailleurs écrit un "souris" jusqu’au XIXe siècle. Jusque-là, tout est logique. Mais, étymologiquement, il vient quand même du latin populaire subridere. Le sourire est donc ce qui viendrait "avant le rire", d’autres dictionnaires le définissant même comme un "rire sans éclat".

Le sourire serait-il alors une sorte de rire au rabais ? Que nenni répondent les spécialistes ! Malgré son étymologie, le sourire n’est pas une forme affaiblie du rire. Chacune de ces expressions à ses motivations propres et a évolué indépendamment. Le sourire intervient dans un contexte de rencontre sociale entre deux individus alors que le rire intervient dans un contexte de jeux. Celui-ci est la transformation de la mimique faussement agressive - dite "visage détendu, bouche ouverte" - en expression d’amusement.

Avec le rire, la respiration devient saccadée, on émet des sons bruyants et des larmes font éventuellement leur apparition. À l’inverse du sourire, la motricité du rire n’est plus volontaire. Le sourire correspond en fait à une tout autre émotion. C’est un mode d’expression non verbale. Il naît de sentiments positifs comme le plaisir, la gaieté, l’affection, la tendresse, la sympathie, mais aussi négatifs comme l’ironie, le mépris ou la cruauté. On peut donc sourire à tout et n’importe quoi mais aussi de n’importe quelle façon. Pour cela, les expressions ne manquent pas : sourire de toutes ses dents, sourire à demi, un sourire entendu, carnassier, ironique, forcé. Il y a même des sourires tristes.

Alors pourquoi sourit-on ? Difficile de répondre en bloc mais, d’une manière générale, le sourire est "un signal muet de sociabilité". C’est un signe d’apaisement, il informe l’autre sur l’absence d’agressivité. Darwin, lui, a une explication un peu différente pour le sourire, celle du principe dit "des habitudes utiles". D’après lui, "dans la joie, on pousse naturellement des cris, le cri exige la bouche ouverte et la bouche ouverte exige à son tour les contractions en question qui se produisent à l’état faible dans le sourire"… Si l’on traduit, cela veut dire que, ne pouvant pas pousser des cris de joie à tout moment, on se réduit à sourire en société pour exprimer son contentement. Cela vaut peut-être mieux pour tout le monde.

Voilà donc pourquoi on sourit, la plupart du temps, sans s’en rendre vraiment compte. Reste à savoir comment ! Il est très simple de sourire. Tout le monde peut le faire, les nouveaux nés l’apprennent dès la sixième semaine de leur vie. Pourtant, à y regarder de plus près, un sourire peut prendre des allures de cours de gym ! Tenez-vous bien : pour sourire il faut remonter la bouche, les yeux, le front, les narines et les oreilles, le tout simultanément. Cette action est possible grâce aux muscles peauciers. Ce sont des muscles aptes à effectuer des mouvements rapides et innervés par le nerf facial. Mis à part ceux-là, quinze autres muscles entrent en jeu dans le sourire dont le buccinateur, l’occipital, l’orbiculaire, le petit et le grand zygomatiques. Ouf !

Mais, malgré l’effort qu’il paraît demander, le sourire a la cote. On sourit en moyenne trente fois par jour de manière sincère. Des études montrent même que le sourire est le premier échange de deux inconnus, le premier contact qui s’établit. Le sourire appartiendrait aux universaux humains ayant résisté aux influences culturelles, comme le rire ou les cris de douleur. On le considère comme inné et génétiquement déterminé puisqu’il apparaît chez des enfants sourds et aveugles de naissance.

Traversant les âges et les cultures, le sourire reste donc un signe de courtoisie… et un atout de séduction de taille ! Les exemples ne manquent pas.

Prenez la Joconde, ça fait plus de cinq cents ans qu’elle nous sourit et le charme est toujours là… Bref, nos recherches nous l’ont prouvé, tous les avis concordent, vous n’avez rien à y perdre, un seul mot d’ordre : "Cheese" !

Faut-il prendre un traitement médicamenteux ?

Si l'on manque de confiance en soi, un petit traitement peut donner un coup de pouce. Ici, il faut viser le placebo plus que le tranquillisant. Les anxiolytiques sont à proscrire étant très toxiques pour la mémoire et la forme physique. Il en est de même pour les somnifères. En revanche, les vitamines pour la mémoire, l'homéopathie, même si leur effet n'est pas démontré, ont au moins le mérite de ne pas vous faire de mal. Alors, pourquoi s'en priver s'ils sont un soutien pour vous ?Un traitement du trac très efficace existe aussi : le bêtabloquant. Il est prescrit en cas de trac physique (tremblements, sueurs, cœur qui s'accélère) et il est très prisé des comédiens qui connaissent bien les effets du trac. Il se prend uniquement sur ordonnance (il est contre-indiqué pour les asthmatiques), et doit impérativement être testé au moins une fois auparavant… Il rend d'immenses services à ceux qui perdent leurs moyens à l'oral.

Comment se préparer psychologiquement pour réussir ?

Il est indispensable de dissocier la valeur de la personne et la réussite à l'examen. Ce n'est pas parce qu'on est collé au bac qu'on ne vaut rien, parce qu'on n'a pas réussi Polytechnique qu'on sera le raté de la famille, ou parce qu'on rate son CAP qu'on ne fera rien dans la vie. L'essentiel est de faire confiance à chacun, non dans la réussite à un examen, mais à plus long terme. Dire par exemple ' quels que soient les résultats à ton examen, tu as ma confiance, je sais que tu réussiras dans la vie… '

Et puis, accepter l'idée d'un échec possible, c'est faire diminuer l'angoisse. Certains parents affirment : ' Mais non, tu ne peux pas rater ton examen… N'y pense pas ' En fait si, chacun peut rater un examen. C'est un fait, et pas une catastrophe que de le penser. Plutôt que de faire semblant que l'échec est impossible, il vaut bien mieux se demander ce que l'on ferait en cas d'échec. Redoubler ? Changer de voie ? Prendre une année sabbatique ? Partir à l'étranger ? Faire une thérapie pour la confiance en soi ? Parler de l'échec ne fait pas échouer, pas plus qu'un testament ne fait mourir. Au contraire, cela rend plus détendu. On se rend compte que non, la vie ne s'arrêterait pas si l'examen n'était pas une réussite.

Il est encore possible de se poser une question : ' qu'est-ce qui me rassurerait et m'aiderait à avoir confiance ? ' Cela peut être d'avoir une photo dans sa poche, d'avoir sur soi un objet porte chance, de réciter une prière avant l'épreuve…

Faut-il toujours une préparation psychologique ?

Disons-le franchement, normalement, non ! Si vous avez travaillé, si vous comprenez votre programme, il n'y a pas de raison d'échouer. Penser qu'une préparation est indispensable signifie qu'il ne serait pas naturel de passer un examen.Pourtant, pour de nombreuses personnes, une préparation psychique est une aide énorme. En effet, dans ce cas, ce n'est pas le programme ou l'examen qui sont en jeu, mais tout ce qui se cache derrière.

Car les enjeux d'un examen sont parfois ressentis comme énormes, disproportionnés avec la réalité. Une personne (jeune ou moins jeune) peut penser que s'il rate cet examen, son rêve ne pourra pas se réaliser. Il ne pourra pas accéder au métier qu'il souhaite. Et il est vrai que cela peut parfois être considéré comme un échec grave.Dans d'autres cas, c'est le désir de s'affirmer qui est en jeu. Si j'ai moi-même l'impression de ne pas valoir grand-chose, alors, réussir cet examen prouverait (à mes parents, à mes proches, à moi-même) que de la valeur, j'en ai. Si je rate, c'est ma valeur personnelle qui se trouve remise en cause bien plus que le diplôme qu'il me permettrait d'obtenir. Parfois, l'entourage exerce une pression énorme sur la personne qui doit absolument réussir cet examen. La peur d'échouer est alors à la mesure des attentes extérieures et pas du tout à celle de l'enjeu réel de l'examen.

Quelquefois, la peur d'échouer est tellement forte que certains échouent presque volontairement, comme s'ils se disaient à l'avance : ' Je vais tout rater, comme ça, je n'ai plus besoin de m'angoisser. Je sais que je vais échouer, c'est comme si c'était fait '.

Les mesures pratiques pour réussir ses examens

Tout d'abord, chacun sait que l'on réussit en grande partie à la mesure du travail que l'on a fourni. Donc, il faut travailler. Facile à dire, mais pas toujours à mettre en œuvre. Un étudiant a souvent tendance à remettre à plus tard les révisions. Pour faciliter cette mise en route, un truc très simple de Paul Watzlawick, thérapeute de la célèbre école de Palo-Alto : ' Fixez-vous l'heure à laquelle vous devez arrêter de travailler. S'il est 9 heures, dites-vous, à 11 heures, j'arrête quoi qu'il arrive. Ainsi, même si vous avez du mal à vous y mettre, si vous ne commencez qu'à 10 heures et demie, vous devez vous arrêter à 11 heures. Cela aide souvent beaucoup, car on se dit tout à coup qu'on n'a plus beaucoup de temps pour faire tout ce qu'on souhaitait faire. Et au lieu de redouter de commencer à travailler, on redoute de devoir s'arrêter trop tôt… Et ce changement de perspective est très positif '.

Examinez quelle est votre méthode idéale de préparation à cet examen. Dans votre cas, est-ce plus efficace de lire vos cours ? De vous les réciter ? De les écrire ? D'en faire des résumés ? De réaliser des exercices ? Est-il plus adapté pour vous de travailler tôt le matin ? Tard le soir ? De travailler par grandes plages horaires ? Ou par moments plus brefs et intenses ? Etes-vous fait pour travailler seul ou en groupe ? Pour vous faire aider et guider ?

Si vous préparez un oral, dites-vous qu'un oral, cela ne se travaille pas seulement à l'écrit. Trouvez un volontaire qui vous entraînera à parler, à répondre à des questions… même s'il ne connaît pas grand-chose à votre sujet. Cela vous mettra en situation.